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Des chantiers plus faciles à vivre… et à accepter

24.10.2022

La création ou l’évolution d’un nouvel aménagement urbain en matière d’immobiliers, d’infrastructures ou bien encore de mise en place de nouveaux services à l’échelle du quartier nécessitent la mise place de multiples chantiers sur le moyen terme. Ces chantiers ne sont pas toujours bien perçus par ces riverains, commerçants ou salariés : s’ils escomptent un bénéfice à terme, ils redoutent souvent les désagréments engendrés au quotidien par les travaux.

Les chantiers ont longtemps souffert d’une mauvaise image, liée à leurs inconvénients sur le voisinage : perturbations sonores, encombrement de l’espace public, dégagements de poussières, de déchets et/ou de produits malodorants, sans oublier le défaut d’information. Mais depuis la promulgation des lois dites Grenelle I (2009) et II (2010), le secteur du bâtiment et de l’urbanisme a considérablement fait évoluer la physionomie générale des chantiers, désormais obligés de modérer leur impact sur l’environnement. Pour 2025, les professionnels envisagent d’ailleurs de recycler 90 % des déchets inertes du BTP, et de couvrir ainsi 30 % des besoins hexagonaux en granulats (*).

Réguler, sécuriser, informer pour une gestion des flux logistiques du dernier kilomètre

Les territoires sont de plus en plus sensibles à la planification et à la régulation des flux de mobilité et notamment les flux logistiques du «dernier kilomètre». En effet, cette volonté politique contribuera à limiter les impacts des grands chantiers urbains tant sur la qualité de vie des riverains que sur l’environnement. Cette planification aura pour effet à court et moyen terme d’assurer notamment :

  • la sécurité des riverains et des chauffeurs/livreurs,
  • une meilleure qualité de l’air et une réduction de l’empreinte carbone,
  • un apaisement de la mobilité urbaine,
  • une diminution des nuisances sur le domaine public.

Ce dernier point est d’autant plus vrai qu’il est accentué par la logistique urbaine (livraisons, enlèvements…) qui apporte les mêmes maux au quotidien en matière d’encombrement de la voie publique.. .

Cette logistique du dernier kilomètre est aujourd’hui facilitée grâce à l’usage d’outils qui couplent physique et digital, à l’instar de l’approche QIEVO (**). Cette simplification opérationnelle s’avère génératrice de confort d’utilisation pour l’ensemble des équipes travaillant sur chantier comme les riverains et permet d’appréciables économies. Bref, une solution gagnant-gagnant.

En conclusion, l’anticipation, la connaissance et le contrôle des flux et stationnements de véhicules liés aux chantiers sont 3 facteurs clés d’une solution efficace permettant d’en maximiser l’efficacité le jour J, d’en limiter les nuisances sur la mobilité autour des chantiers, et de se prémunir de conflits avec toutes les parties prenantes (riverains, commerçants, acteurs du chantiers).

 

(*) https://www.batiweb.com/actualites/vie-des-societes/recyclage-des-dechets-du-btp-le-seuil-de-70-fixe-par-l-ue-deja-atteint-34713#:~:text=Des%20déchets%20recyclés%20à%20hauteur,fixait%20l%27échéance%20à%202020

(**) La plateforme digitale QIEVO, pensée pour l’optimisation de la mobilité en situation exceptionnelle (grands chantiers urbains, etc.) organise la régulation des flux logistiques du dernier kilomètre, le guidage des livreurs au moyen d’une planification centralisée favorisant la livraison en “juste à temps“. QIEVO favorise une logistique sécurisée et apaisée en organisant la gestion multi-chantiers, et permet de réduire la circulation et le stationnement des camions de chantier sur le domaine public et de préserver la qualité de vie des riverains. QIEVO encourage ainsi la transition écologique et énergétique en améliorant la qualité de l’air et l’empreinte carbone.